La scission de l'impôt sur les sociétés figure e"n première palce sur la liste des négociateurs de la fomration d'un noveau gouvernement belge. Pourquoi ? Tout simplement parce que sa source d'inspirationvient de chez les patrons.
En 2006, les bénéfices du Top-20 des entreprises belges cotées en bourse étaientde 23 milliards d'auros soit + 40% en un an . Ente 2OO2 et 2005, les bénéfices des entreprises non financières ont plus que triplé. Mais le patron de la Voka déclare : "L'impôt sur les sociétés est bien trop élevé".
En théorie, les entreprises paient 34% sur leurs bénéficdes mais dans les faits, elles ne paient que 25% et ce grâce à toutes sortes de cadeuax fiscaux offerts par le MR : avec la déduction de l'intérêt notionnel, elles ont reçu par exemple un cadeau de 900 millions d'euros !
Le patronat flamand estime que sur le plan belge, il ne peut obtenir assez rapidement une réduction de l'impôt sur les sociétés et ce, surtout à cause de l'opposition des syndicats. Il entend donc mettre fin à toute forme de solidarité au niveau belge tant avec les travailleurs qu'avec le reste du patronat belge. Le patron de la Voka est clair : "La Flandre est pressée...nous devons réformer fondamentalement notre économie...cela ne peut se faire que si la Flandre peut mener sa propre politique économique ! Et cette volonté rencontre les désirs des supporters du grand patronat qu'est le MR de Reynders.
Pendant ce termps-là, la population s'inquiète de la diminution de son pouvoir d'achat et bataille fzerme pour maintenir son budger en équilibre . Une série de mesures sont nécessaires et notamment :
- Une intervention active contre toutes les augmentations de prix : ou, plus concrètement un blocage des prix maximum fixés par la loi, tant pour l'énergie que pour les denrées alimentaires de première nécessité.
- Une baisse des tarifs du gaz et de l'électricité avec écrémage des bénéfices des monomples : ce qui peut se faire facilement en réduisant la TVa sur le gaz et l'électricité de 21 à 6% . Le gaz et l'électricité ne sont pas des produits de luxe, mais des besoins de première nécessité.
- Un élargissement du fonds mazout pour maîtriser la facture du mazout : le fonds mazout doit être ouvert à toutes les familles, à l'exception des 10% les plus riches (qui gagnent 75.000 euros par mois). L'orange bleue avait l'intention d'offir un cadeau de2,6 milliards d'euros aux patrons : avec ette somme on pourrait donner à chacune des 4 millions de maille du pays 1000 litres de mazout gratuitement !
Il faut en finir avec la distribution de nouveaux cadeaux au profit des plus riches et des bénéfices des entreprises. Il faut en finir aussi avec les diminutions des cotisations patronales.
Les taux d'imposition des revenus les plus bas doivent diminuer (de 25 à 10%) et les taux les plus élevés doivent repasser au-desssus de 50% comme avant laréforme fiscale de Reynders quand les super-riches étaient imposés à 52,5 et 55%.
Reynders au fait, ça s'écrit avec un i grec : on ne peut vraiment pas faire confiance à ce type car avec un i grec on l'a toujours dans le c....!